Deux Canaris préservés pour affronter Sainté
15/01 13:34
"Je ne fais pas de turn-over. Je fais jouer les meilleurs, ceux qui le méritent. Après je dois aussi tenir compte de l’état de santé de mes troupes" a déclaré avant-hier Antoine Kombouaré en conférence de presse. Comme le souligne aujourd'hui Presse-Océan, deux joueurs ne sont pas dans le groupe canari qui défiera ce soir à Francis Le Blé le Stade Brestois de Mahdi Camara mais devraient faire leur retour ce dimanche après-midi à Geoffroy-Guichard.
Il s'agit du vilain gardien Anthony Lopes (qui a reçu un coup de l'ex-futur avant-centre stéphanois Mustapha Mohamed hier à l'entraînement) et du défenseur central Jean-Charles Castelletto (qui avait offert aux Verts un pénalty égalisateur en donnant un coup de coude à Mickaël Nadé le 29 septembre à la Beaujoire).
Grange et Roro derrière les Espaviots
15/01 12:57
Selon la dernière édition du Progrès, deux anciens présidents de l'ASSE ayant des attaches en Haute-Loire assisteront ce soir à Clermont-Ferrand au 16e de finale de Coupe de France qui opposera Espaly (N3) au QSG : Henri Grange et Roland Romeyer, qui est resté proche du président espaviot Christian Perbet (dont l'entreprise ponote TNT a accompagné l'ASSE sur le terrain du web).
Entraîneur du dernier rescapé altiligérien suite à l'élimination du Puy hier sur le terrain de Dives-Cabourg, l'ancien coach des U17 stéphanois sacrés champions de France en 2013 Lionel Vaillant a livré ses impressions sur le site de la FFF.
"Avec ma famille, on a passé les fêtes de Noël à Barcelone. Mes enfants ont voulu visiter le musée du Barça et il y a tout une partie consacrée à Luis Enrique. J’ai découvert son parcours de vie. C’est un grand Monsieur. On essayera d’exploiter au maximum ce que l’on sait faire. Ce qui est important, c’est de jouer le match. Ce n’est pas un jubilé. Après, on n’est pas fous et on sait très bien que ce sera compliqué. Il faudra vivre intensément ce moment et kiffer !
Stassin vaut déjà plus qu'il n'a coûté !
15/01 08:23
Leader mondial dans l’évaluation scientifique des valeurs de transfert des joueurs professionnels, l'Observatoire du Football a présenté dans sa 486e lettre hebdomadaire les footballeurs actuellement les mieux valorisés au monde.
Cette instance du Centre International d'Etude du Sport, qui n'avait publié que le top 100 mondial (dominé par Jude Bellingham, 251 M€), a bien voulu nous divulguer le top 5 de l'ASSE. S'il n'a marqué que 2 buts en 722 minutes hors temps additionnel sous le maillot vert, notre Diablotin recruté pour 10 M€ est le joueur stéphanois le mieux valorisé.
1. Lucas Stassin : 11,4 M€
2. Zuriko Davitashvili : 10,6 M€
3. Pierre Ekwah : 4,89 M€
4. Ben Old : 3,42 M€
5. Igor Miladinovic : 3,24 M€
Encore un Sissoko expulsé en Coupe de France !
15/01 07:43
A l'instar d'Ibrahim, en train de payer très cher son coup de coude sur Leonardo Balardi, un autre Sissoko s'est fait expulser hier en Coupe de France : l'ancien latéral stéphanois Alpha, actuellement meilleur passeur de Ligue 2 (6 offrandes). Mais son club Guingamp s'est qualifié aux tirs au but aux dépens du FC Sochaux de Marie-Gaël Mukanya (entré en jeu), Nassim Ouammou (resté sur le banc) et Baptiste Valette (absent).
L'ASSE reste la dernière équipe française à avoir battu le LOSC, les Dogues de Rémy Cabella s'étant qualifiés au Vélodrome aux tirs au but au grand dam de Neal Maupay, dont le but marqué de la main a été logiquement refusé malgré son air ahuri. Le Mans FC (11e de N1) de Lucas Calodat (resté sur le banc) et Nathan Dekoké (absent) a éliminé aux tirs au buts le VAFC (12e de N2) de Vincent Hognon.
Ancien entraîneur de ce dernier (à Sainté puis à Nice), le directeur sportif du SC Bastia Frédéric Antonetti a vu les Corses s'incliner sur le plus petit des scores à Furiani face aux Aiglons. Maxence Rivera, qui aurait dû être titularisé hier avec Dunkerque à Haguenau n'a pas pu jouer, son match ayant été reporté en raison du terrain gelé de la commune du Bas-Rhin.
L'apothéose du professeur Vaillant
15/01 07:19
Prof d'EPS à Yssingeaux et entraîneur d'Espaly (N3), qui défie le QSG ce soir au stade Marcel-Michel de Clermont-Ferrand (à suivre sur beIN Sports 1 à 21h00), l'ancien formateur stéphanois Lionel Vaillant est mis à l'honneur aujourd'hui dans la Pravda. Extraits.
"Pour moi il y a un lien entre mes deux activités", explique l'ancien milieu défensif. "Souvent on ne voit pas les élèves de la même manière que les autres collègues, ils expriment en EPS d'autres compétences, d'autres attitudes. Et quand je retrouve mes élèves dans un club de sport, je me dis que j'ai fait mon boulot".
Il est aujourd'hui prof à 80 % dans le groupe scolaire où, lycéen, il a rencontré sa compagne. "J'ai les pieds sur terre. Après la claque que j'ai prise à Saint-Étienne, je n'ai pas de rêve en tête", dit-il. La trempe verte, il l'a encaissée en 2016. Après sept années à la formation, son contrat n'est pas renouvelé. "Je suis reçu par Bernard David, le directeur du centre, et quand je lui demande des explications il me répond : "Je ne peux pas t'en donner"." Un souvenir douloureux pour celui qui s'imaginait reconnu, au-delà des résultats de ses équipes (champion de France U13 en 2010 et 2011, champion de France U17 en 2013).
Venu en voisin assister à un match amical sur le terrain de Monistrol-sur-Loire, jeudi dernier, Alain Blachon, l'homme qui l'avait fait entrer chez les Verts, assume son incompréhension : « "C'était un des meilleurs de l'académie, un mec sérieux, avec plein d'idées, qui accrochait super bien avec les jeunes." Après Saint-Étienne, Lionel Vaillant prendra l'équipe B d'Andrézieux puis celle du Puy, où la candidature de Stéphane Dief est préférée à la sienne quand il faut trouver un successeur à Roland Vieira pour diriger l'équipe première.
En 2023, son profil émerge chez le voisin d'Espaly. "Avec le président, ç'a matché tout de suite", témoigne ce technicien très méthodique. "Le plus travailleur des entraîneurs que j'ai pu avoir", tranche Christian Perbet, son président. "Un coach qui ne fait que dans l'intuition, ça ne me va qu'à moitié. Lui, ses analyses sont systémiques et je m'y suis tout de suite retrouvé. Il essaie de tout expliquer, en fait c'est un prof, c'est un pur."
Lubo lui a fait passer une sale soirée !
14/01 21:07
Formé au TFC où il a fait ses débuts en pro, l'actuel entraîneur lavallois Olivier Frapolli s'est confié à Ouest-France avant de retrouver les Violets demain en Coupe de France. Extraits.
"Normalement, le rêve de tout gamin qui évolue dans les Bouches-du-Rhône est de jouer à l’OM. Mais j’y voyais moins de possibilités d’y être pro. Toulouse était en avance sur le volet scolaire par rapport aux autres clubs. C’était la meilleure proposition pour continuer à allier les deux le plus longtemps possible. Ça m’a permis, après mon bac obtenu à 17 ans, de passer un BTS action commerciale par correspondance - comme Jean-François Soucasse, le président de Saint-Étienne qui était en chambre avec moi - et d’avoir le tronc commun du BEES 1er degré. Inconsciemment, je pense que c’était déjà un premier pas vers le rôle d’entraîneur (sourires).
Je suis arrivé au Tef à 17 ans, je suis devenu un homme là-bas. Petit à petit, j’ai réussi à être dans le groupe pro. Les moments forts que je garde de ces années-là ? Mon pire, c’est face à Saint-Etienne, je n’étais pas à mon poste et j’avais eu Lubomir Moravcik dans ma zone. Techniquement, il maniait le ballon de façon incroyable et j’ai vraiment passé une sale soirée ! Le meilleur, je dirais que c’est face à Strasbourg. En face, il y avait pourtant quelqu’un comme Frank Lebœuf, mais j’avais obtenu la meilleure note dans le journal L’Équipe, un 8 sur 10. Quand on est jeune, ça impacte, et pour un défenseur, c’était assez rare."
Irvin, il revient ? (3)
14/01 19:19
La Pravda évoque à nouveau ce soir le très probable retour d'Irvin Cardona. Extraits.
"Si l'Espanyol a accepté l'idée de son départ anticipé durant ce mercato d'hiver, ce n'est pas à n'importe quelle condition. Lorsqu'il a obtenu la venue de Cardona de la part des Allemands d'Augsbourg, ce fut sous la forme d'un prêt payant d'un an, assorti d'une option d'achat de 1,8 M€. L'Espanyol voudrait que l'ASSE prenne en charge le restant dû de ce prêt, estimé autour de 500 000 €. Alors que le club de Catalogne a déjà trouvé un remplaçant à Cardona (Roberto Fernandez en provenance de Braga), les négociations tripartites coincent sur ce point.
Les dirigeants stéphanois ne désespèrent toutefois pas de parvenir à débloquer la situation. Mais cela prendra finalement un peu plus de temps que prévu. La possibilité de voir Cardona fêter son grand retour dans le Chaudron devant Nantes, ce dimanche, apparaît dès lors compromise. Pas son retour, d'ici à la fin du mois. Une fois cette histoire de prêt payant réglé, il restera aux Verts à se mettre d'accord avec Augsbourg sur le montant et la durée de l'option d'achat du Français, avec lequel il reste sous contrat jusqu'au 30 juin 2027."
Le SCO s'accroche (3)
14/01 19:09
A mi-championnat, les Verts sont les moins bons des trois promus. Non seulement ils comptent 6 points de moins que les Auxerrois d'Assane Diousse (pourtant incapables de gagner depuis près de 2 mois), mais ils sont également à 3 longueurs des Angevins de Jean-Eudes Aholou. Dans sa dernière édition, Le Courrier de l'Ouest souligne les progrès du SCO. Extraits.
"0 victoire en 8 journées, puis 5 sur les 9 suivantes. La trame de la saison angevine est une courbe ascendante, qui n’a pas tenu qu’au déclic du premier succès face à Saint-Etienne (4-2) le 26 octobre, aussi important fut-il. C’est le fruit d’une montée en puissance, patiente et méthodique. D’abord confronté à des soucis défensifs, le SCO est devenu plus dur à manœuvrer, en trouvant les hommes et l’animation, en 4-2-3-1, pour moins s’exposer.
"J’ai envie que les joueurs se rendent compte de la progression qui a été la leur, et aussi qu’ils en veuillent toujours plus ", pousse l’entraîneur Alexandre Dujeux. " Avec nos qualités et nos défauts, on doit aller toujours optimiser tout ce qu’on peut. J’attends cette responsabilité de leur part. On peut gagner en efficacité, en constance, et faire que la concurrence tire tout le monde vers le haut. Si on peut continuer à progresser, il ne faut pas s’en empêcher. "
La menace de la relégation reste d’actualité, avec une place de barragiste (16e, Saint-Etienne) qui n’est que trois points derrière. Mais les deux relégables, Montpellier et Le Havre, pointent désormais à 10 et 7 points ; l’opération réalisée dimanche est juteuse. C’est le fruit de la grande réussite angevine dans les confrontations directes. Le SCO a battu les trois derniers et obtenu le nul contre Nantes (15e), soit la moitié de ses points.
"Dans les confrontations directes, les 3 points sont fondamentaux. Mais ce ne sont jamais des matchs faciles à aborder, ça peut vite basculer ", alerte Dujeux, avant les prochains duels qui arriveront vite : Le Havre (20e journée), Reims (22e), Saint-Etienne (23e), Montpellier (29e). Le SCO ne veut pas se relâcher. " Les garçons sont concentrés et professionnels. C’est une marque de ce groupe-là. Il faut se servir de la confiance accumulée pour travailler fort et ne surtout pas se relâcher. On est sur une pente ascendante."
Deux jeunes verts en sélection U16
14/01 18:51
Déjà présents pour le stage avenir de la sélection U16 début décembre, les deux jeunes stéphanois Mylan Toty et Nathan Kasia, font à nouveau partie du groupe retenu par le sélectionneur José Alcocer, pour affronter à 2 reprises le luxembourg les 21 et 23 Janvier prochains.
Ces deux jeunes footballeurs de la génération 2009, arrivés cet été au Centre de formation stéphanois, brillent depuis le début de saison avec l'équipe U17 coachée par David Le Moal qui caracole en tête de son groupe.
Nathan Kasia a joué 14 des 15 matchs disputés par les U17, tous comme titulaire alors que Mylan Toty qui a réalisé 2 doublés en 3 matchs avec les U16 de Kevin De Jesus a aussi scoré à 3 reprises en U17 (9 matchs).
Mission impossible pour Gasset
14/01 18:39
Lanterne rouge à 7 points de l'antépénultième et barragiste stéphanois à mi-saison, Jean-Louis Gasset (71 ans), encore battu (à la maison contre Angers), est abattu dans Midi Libre.
"Dans un match important comme ça, c'est très grave de refuser le jeu au lieu de tout donner. La mission était très difficile, aujourd'hui c'est mission impossible. Il y a encore beaucoup de points en jeu, mais on a perdu au Havre, on a perdu à Saint-Etienne, on perd chez nous contre Angers... Il va falloir un petit miracle pour se sauver !
J'ai dit aux joueurs : "Vous avez fait 8 matches avec un entraîneur, vous avez pris 4 points. On change d'entraîneur, on a pris 5 points en 9 matches. On est où on doit être". On a essayé de remettre certaines choses mais on n'y est pas arrivé. Donc j'ai dit, "il manque un demi-championnat, on est des professionnels, on va jouer les matches du mieux possible..."
Si j'avais réfléchi quand on m'a demandé, peut-être que je ne serais pas venu, parce que je voyais que le mal était quand même assez profond. Mais à bien y réfléchir, si aujourd'hui j'avais été devant ma télé, je me serais dit que je me suis dégonflé. Et vis-à-vis des gens qui sont partis, à qui je dois beaucoup, je préfère souffrir en étant avec eux que souffrir en étant à l'extérieur."
Les Nantais sont devenus des guerriers ?
14/01 11:40
Ayant pris 15 fois plus de points à la maison qu'à l'extérieur à mi-championnat et s'apprêtant à recevoir ce dimanche des Nantais qui auront 3 jours de récupération de moins du fait de leur délicat déplacement à Brest demain en Coupe de France, les Verts seront logiquement favoris ce dimanche après-midi. Mais la seule équipe à n'avoir pas réussi à battre les Stéphanois chez elle cette saison ne viendra pas en victime expiatoire à Geoffroy-Guichard. Si les Nantais n'arrivent toujours pas à gérer leur avantage, ils sont devenus plus agressifs ces dernières semaines, comme le souligne Johann Lepenant dans Presse-Océan.
"On a basculé au niveau de notre mentalité. On s’est mis en mode guerrier et je pense que c’est ça qui va nous faire gagner des points face à toutes les équipes. À chaque match, on souffre mais on doit être capable de tout donner sur le terrain, jusqu’à la fin. Et on sait qu’on y arrivera ensemble. Le déclic s’est produit au Parc des Princes, où on a su faire preuve d’une grande solidarité pour arracher un point. On s’est dit qu’on ne voulait pas faire de la figuration. On voulait être une vraie équipe, se battre les uns pour les autres.
Depuis ce match à Paris, on montre un visage de guerrier. Quand tout le monde est ensemble, quand les lignes sont resserrées, il n’y a pas beaucoup d’équipes qui peuvent nous prendre en défaut. Le PSG a eu le ballon mais n’a pas eu tant d’occasions que ça. Pareil pour Lille. La mentalité a changé. On s’est fait remonter les bretelles par le staff, la direction. Même à l’entraînement, on sent une différence, il y a plus d’engagement."
La passion selon Anto
14/01 11:31
Devenu Directeur Sportif de son Sporting Club de Bastia (actuellement 8è en L2), Frédéric Antonetti revient dans une instructive interview à la Pravda sur son rôle, et sur sa vision du football français en 2025 :
"L’année dernière, j’ai eu des propositions pour retrouver un banc, de deux clubs qui sont aujourd’hui en Ligue 1 (ndp² : dont Sainté avant qu'ODO soit nommé). Je n’avais pas envie de prendre une équipe en cours de saison. Le terrain me manque, mais je n’interviens jamais auprès de Benoît (ndp² : Tavenot, le coach bastiais). Il gère le présent et moi j’observe le présent pour préparer le futur. Mon profil n’existe pas en France chez les directeurs sportifs : ce sont soit d’anciens joueurs, soit des gens qui ont fait Limoges (ndp² : soit les deux comme Loïc Perrin !) : quelqu’un qui a passé trente ans sur les bancs de touche, il y en a zéro. C’est dommage parce que l’entraîneur a un regard. Pour moi c’est le mieux placé pour constituer un effectif. J’ai toujours aimé ça, mais quand tu es entraîneur, tu n’as pas le temps. Aujourd’hui il y a deux footballs : celui de la mondialisation avec des capitaux qui arrivent de l’étranger, des clubs qui ont perdu leur identité, et celui des clubs régionaux comme le nôtre (…) Si on avait un quart des moyens du Paris-Saint-Germain, on aurait déjà été champions d’Europe. En Ligue 1, il y a 8, 9 clubs qui sont intouchables. Ils se sont partagé le football français, il faut dire les choses comme ça : il n’y a qu’à voir le partage de l’argent de CVC. La répartition des revenus du football français est très injuste : c’est aux riches qu’on donne le plus. Aujourd’hui, le salaire d’un bon joueur de Nice couvre l’ensemble de la masse salariale du Sporting Club de Bastia, qui est de 250 000€ brut par mois. Pour exister, on doit appliquer une politique sportive en adéquation avec nos moyens. Et pourquoi on doit exister ? Parce qu’on a la passion. S’il n’y avait pas cette passion, je n’y serais pas allé. On n’existe que grâce à elle, sinon on serait rayé de la carte du football (…) La place du Sporting se situe entre la 10è et la 30è place du foot français. L’objectif, c’est d’être 10è de première division. Il nous faudra peut-être quinze, dix ou huit ans, je n’en sais rien. Mais on prépare ça. Petit à petit."
Promu, leader... mais viré !
14/01 08:52
Alors qu'il avait fait remonter Chartres en N3 et qu'il était toujours leader du groupe F malgré la défaite de son équipe à Vierzon, l'ancien milieu de terrain stéphanois Laurent Fournier (60 ans) s'est fait virer hier.
L'Ange Vert était fait pour jouer, pas pour manager
14/01 07:03
Fêtant aujourd'hui ses 70 ans deux jours après assisté à la défaite des Verts au Parc, Dominique Rocheteau s'est confié à la Pravda. Extraits.
"L'exigence ne m'a jamais fait avancer. Le plaisir de jouer, oui. Le matin, je me levais pour m'amuser au foot. À 16 ans, quand j'ai quitté mon pensionnat de Royan, situé à 200 mètres de la plage, pour Saint-Étienne, une ville noire de mineurs, cela a été un choc. Plus d'océan ni de douceur de vivre. Mais l'envie et le plaisir de jouer ont pris le dessus. À 9, 10 ans, je préférais marquer à dribbler ou passer, e comptais mes matches et mes buts sur un petit carnet.
Les datas, c'est l'exemple même du sport business. Un club achète un joueur pour le revendre un an après. Résultat : les joueurs changent de clubs comme de chemises et les supporters peuvent s'y perdre, même s'ils demeurent attachés à leur équipe. Je suis trop idéaliste, mais il faut penser aux gens. Prenez le cas de Seko Fofana : il devient actionnaire du RC Lens en partant en Arabie saoudite et il revient en signant à Rennes. Je comprends la réaction des supporters lensois. Sur le plan éthique, ce n'est pas terrible.
C'est à l'AS Saint-Étienne que l'on m'a inculqué que le football est un sport collectif. Quand j'arrête ma carrière, je ne sais d'ailleurs pas combien de buts j'ai inscrits en tout. Aujourd'hui, j'ai l'impression que les footballeurs jouent pour les stats. Cela me dérange un peu, car je reste persuadé que, même dans le football moderne, tu n'obtiens pas de résultats dans la durée sans cette notion de collectif. C'est ce qui s'est passé à Saint-Étienne, dans les années 1970.
Je demeure un passionné de football, mais je le suis avec moins d'assiduité. Je regarde rarement un match de foot en entier, désormais. Je me sens toujours supporter des Verts et du PSG, même si ce n'est plus le même club. Je suis partisan pour que le PSG reste au Parc. L'Emirates Stadium d'Arsenal n'a rien à voir avec Highbury. Anfield à Liverpool, le stade Bollaert à Lens ou Geoffroy-Guichard à Saint-Étienne restent des stades mythiques avec une âme. Comme le Parc.
Ce que je pense de la vente de l'ASSE au milliardaire canadien Larry Tannenbaum ? Les clubs anglais sont tous rachetés par des capitaux étrangers. Si Saint-Étienne veut revenir à un certain niveau, il est obligé d'en passer par là. Après, tout est une question de valeurs. Des étrangers peuvent garder celles des Verts, en étant conscients de leur histoire.
Depuis que je suis parti à la rencontre des gens à l'occasion de la sortie de mon dernier livre, je me rends compte que Saint-Étienne reste Saint-Étienne et que les Verts renferment toute une époque qui s'est transmise de génération en génération. Il n'y a qu'à voir le public jeune de Geoffroy-Guichard. Je ne m'attendais pas du tout à ce qu'autant de monde vienne me voir. C'est le côté sympa d'une carrière. Il y a beaucoup d'émotions et d'échanges.
Ce que je retiens de ma carrière, ce ne sont pas les titres. Non, ce qui me reste de mes 18 ans de carrière, ce sont les relations tissées avec le monde du football et le plaisir que l'on prend à se revoir, 50 après, avec les Verts de 1976. C'est particulier et c'est le plus beau. Cela vaut plus qu'une victoire en Ligue des champions. Mais bon, c'est comme si nous l'avions gagnée, cette finale de 1976. On a descendu les Champs-Élysées et on a été reçus à l'Élysée (sourires).
Finalement, j'ai le sentiment d'avoir fait ce que je voulais, avec une certaine liberté. Là où j'ai eu le moins de liberté, c'est au cours de mes 9 années de dirigeant à l'ASSE. C'était lourd et je me suis pas mal adapté. Je ne suis pas fait pour être un meneur d'hommes. Manager, ce n'est pas mon truc. Mais j'arrive à bien ressentir les gens. Me retrouver entre Bernard et Roland n'a pas été évident du tout, au départ. Mais je garde un bon souvenir de Roland."
On a eu Zouma, on aura Ouma ?
13/01 21:28
Selon le compte Nordisk Football, "l'AS Saint-Étienne est à la lutte avec le Slavia Prague pour Timothy Ouma. Les deux clubs auraient proposé une offre à peu près équivalente pour le milieu de terrain d'Elfsborg. Des discussions sont en cours. Le club suédois viserait une somme record pour le laisser partir. C'est-à-dire au moins 3,5 millions d'euros."
International kenyan âgé de 20 ans, ce milieu axial a joué 13 matches européens cette saison en Europa League pour l'ancien club de l'ex-flop stéphanois Lasse Nilsson : 5 lors des tours préliminaires, 2 en barrages et 6 en phase de Ligue où il occupe actuellement la 24e et dernière place de barragiste.
Où est Madhi ?
13/01 20:44
Madhi Camara s'est illustré samedi en battant, avec le Stade Brestois, nos vilains voisins et ....en chambrant discrètement leurs supporters. Il a été le meilleur joueur de cette rencontre.
Madhi figure sur cette photo prise en 2011 au Tournoi U13 de Cahors, mais où est-il ? A cette époque, Madhi appartenait encore au FC Martigues mais savait déjà qu'il serait Vert deux ans plus tard. Pour s'imprégner de la culture verte, il participait avec ses futurs partenaires aux Tournois du printemps. Qui lui aurait prédit un tel avenir ? Peut-être le coach Lionel Vaillant, (ici debout à gauche, accompagné du dirigeant Bruno Viviani) qui officie désormais sur le banc d'Espaly FC, le futur adversaire du Paris SG en Coupe de France.
De cette très valeureuse équipe qui allait devenir Championne de France quelques semaines plus tard, Madhi est le seul à avoir eu un destin national et peut-être bientôt international.
Quant aux autres, ils ont principalement fréquenté les clubs régionaux (des oublis sûrement) :
Anthony Maisonnial : Sion, Paris FC, Bourg en Bresse, Andrézieux, Bastia
Rayan Souici : Entente SSG, Servette Genève, St Priest, Dijon
Anthony Vacheron : UT Pétange, Andrézieux, Romorantin, Hauts Lyonnais
Louis Berne : St Priest, La Fouillouse, L'Etrat, Dervaux, St Etienne FC
Lilian Desorme : St Christo Marcenod
Eliot Bon : L'Etrat
Augustin Bangoura : St Cyr MO, Lyon Sud
Yassine Benarab : Firminy, L'Etrat
Max Fourgnaud (désormais professeur des écoles) : Andrézieux, Feurs, L'Etrat
Anis Aguir : Bourg en Bresse, St Priest
Mais, au fait, où est Madhi sur cette photo ?
Les U15 ont retrouvé les terrains
13/01 20:15
Finies les vacances pour les U15 de Jean-Philippe Primard ! Depuis lundi dernier, ils ont retrouvé le collège Tezenas du Montcel et les terrains d'entraînement de l'Etrat. Après deux semaines de remise en forme, ils vont reprendre les confrontations amicales.
Samedi 18 janvier, ils se déplaceront pour rencontrer le FC Lyon à 15h30. Le samedi suivant, le 25 janvier, ils se confronteront aux U16 de Roannais Foot42. Le samedi 1er février, ils joueront contre leurs homologues de l'AS Montferrand, le club d'où est issu Antoine Gauthier.
Ensuite, samedi 8 février, place au championnat avec le premier match retour, à Clermont, contre les leaders de Clermont Foot qui devancent les Verts d'un petit point au classement. Et avant les vacances, samedi 15 février, ce sera la réception de Grenoble Foot 38.
On a eu Saïdou, on aura Sadibou ?
13/01 20:01
Après avoir tenté en vain de débaucher le latéral gauche et capitaine du FC Metz Matthieu Udol l'été dernier, l'ASSE s'intéresse à un autre défenseur des Grenats selon Le Progrès.
"Irvin Cardona est attendu pour combler "les manques dans la finition" pointés du doigt par Eirik Horneland (...) Les choses sont en bonne voie et il pourrait retrouver le Chaudron dès dimanche face à Nantes. Une arrivée qui devrait s’accompagner de celle d’un défenseur central. Ni Briançon, ni Abdelhamid n’apparaissent aux yeux du Norvégien comme des alternatives à la charnière Nadé-Batubinsika. Les recruteurs stéphanois lorgneraient du côté de Metz et de Sadibou Sané, titulaire avec les Grenats depuis la saison dernière. Rennes serait également sur les rangs du jeune Sénégalais. Et un latéral gauche en cas de départ de Cornud, qui n’a jamais convaincu, ne sera pas de trop."
Ayant joué intégralement les 2 matches de barrage contre Sainté le printemps dernier, Sadibou Sané est un défenseur central de 20 ans d'1m85 capable de dépanner en latéral droit ou d'évoluer au poste de milieu défensif. Actuellement sous contrat jusqu'en 2028 avec un club classé actuellement 4e de L2 à 3 points des coleaders (Lorient et le Paris) et 2 de Dunkerque, ce joueur a une valeur estimée à 1,5 M€ selon Transfermarkt.
Batta réussit davantage aux Verts qu'aux Canaris
13/01 19:19
Assisté à la vidéo par Clément Turpin et Audrey Gerbel, Florent Batta sera au sifflet ce dimanche dès 15h00 pour le match qui opposera l'ASSE (16e) au FC Nantes (15e). Ce Marseillais de 44 ans réussit davantage aux Verts (7 victoires, 1 nul, 4 défaites) qu'aux Canaris (4 victoires, 6 nuls, 6 défaites). Ce sera la 3e fois que le fils de Marc dirigera un match des Verts dans le Chaudron. Les deux premières, c'était déjà pour la venue de deux concurrents de l'ASSE dans l'opération maintien.
C'est lui qui avait sifflé à juste titre un pénalty pour Le Havre suite à une faute de Dennis Appiah sur l'ouverture du score du HAC, vainqueur 2-0 lors de la 2e journée. Il avait également sifflé un péno pour Montpellier qu'il avait finalement annulé après intervention de la VAR car l'intervention de Yunis Abdelhamid devant Téji Savanier était régulière. Benjamin Bouchouari avait profité d'un dégagement raté de Rabby Nzingoula pour marquer le premier but de sa carrère dans l'élite.
Zézé ne verra pas GG
13/01 15:57
En conférence de presse avant son match de Coupe de France face à Brest, Antoine Kombouaré a annoncé que Nathan Zézé était blessé pour les 6 prochaines semaines et ratera donc le déplacement à Geoffroy-Guichard dimanche comme l'indique Ouest-France :
C’est la grosse tuile,
avoue Antoine Kombouaré. Il souffre d’une grosse entorse de la cheville droite. Il va passer des examens mais il en a pour au minimum six semaines.
L’entraîneur nantais doit aussi gérer les douleurs récurrentes de Moses Simon. Il ne faut pas oublier qu’il a rejoué vendredi après un mois d’arrêt. Et puis il a des petits soucis, il souffre d’un gros orteil depuis deux mois, on ne sait pas si c’est au niveau de la chaussure, des crampons.
Jouera-t-il à Brest mercredi, en 16e de finale de Coupe de France ? Je vais aligner la meilleure équipe possible
, assure le Kanak qui pourra compter sur le retour de blessure (genou) du capitaine Pedro Chirivella.
Saint-Louis a enfin retrouvé le chemin des filets !
13/01 14:26
476 jours après son unique but marqué la saison dernière contre Estoril sous les couleurs de Vizela (qu'il a quitté sur une relégation en L2 portugaise), Dylan Saint-Louis (29 ans) a retrouvé le chemin des filets. L'ancien attaquant stéphanois a marqué le but égalisateur de Sakaryaspor (antépénultième et relégable de L2 turque) sur le terrain d'Erokspor (premier non relégable).
Bravo mon gâté, maintenant fatigue-les !
13/01 13:48
Buteur, chambreur et passeur, celui qui porte le numéro 45 chez les Ti-Zefs en hommage à William Gomis nous a régalés en battant les vilains avant-hier. Pour la 2e fois de la saison, il est dans l'équipe-type de la Pravda :
De Percin (Auxerre) - Amian (Nantes), Ndayishimiye (Nice), Akpa (Auxerre), Machado (Lens) - Camara (Brest), Höjbjerg (Marseille), Dembélé (QSG), Diop (Nice) - Lepaul (Angers), Emegha (Strasbourg).
Le Stade Brestois a publié sur ses réseaux sociaux la vidéo du but et du chambrage de l'ancien capitaine stéphanois.
🔥 Plein d'adresse, Mahdi Camara ouvre le score dans un angle fermé !
— Stade Brestois 29 (@SB29) January 13, 2025
Le résumé en intégralité 👇#SB29OL 2⃣-1⃣
Dans une vidéo d'après-match où l'on voit les Finistériens célébrer leur belle victoire, on a noté que Mahdi est appelé "Gâté", surnom donné par son coéquipier et ami (sudiste comme lui) Hugo Magnetti. Un terme qu'affectionnent particulièrement le rappeur marseillais SCH... et l'ex-président stéphanois Roland Romeyer !
Le premier de 𝟮𝟬𝟮𝟱 ! 🥰
— Stade Brestois 29 (@SB29) January 11, 2025
L'après-match en intégralité 👇#SB29OL 2⃣-1⃣
On compte maintenant sur Mahdi Camara pour fatiguer les Nantais, qu'il accueillera après-demain en 16e de finale de Coupe de France 4 jours avant la venue des Canaris à Geoffroy-Guichard !
La belle à Reims
13/01 13:14
Les Amazones, qui avaient gagné (2-1) à Reims dès la première journée de Première Ligue, ont lourdement chuté à domicile (0-3) contre la même équipe lors de leur dernier match de championnat. Les deux clubs se retrouveront en Champagne le dimanche 26 janvier en 8e de finale de Coupe de France. Allez les Vertes !
Ricky'Inoxydable !
13/01 10:26
Ricky Van Wolfswinkel ne faiblit pas. L’ancien attaquant vert (40 matchs, 9 buts, saison 2024-2015) a marqué samedi le 4ème but de son équipe Twente qui recevait Willem 2 en championnat des Pays-Bas (victoire finale 6-2).
Joli cadeau d’anniversaire avant l'heure (il aura 36 ans le 27) pour l’international Hollandais (2 sélections) qui marque à l’occasion son 5ème but de la saison en 15 rencontres de championnat, son 6ème toutes compétitions confondues.
Les Verts ont commencé le match façon Hulk
13/01 08:03
Dans son compte rendu du match d'hier soir, Le Parisien salue la prestation des Verts. Extraits.
"Les Verts ont commencé le match fâché, façon Hulk, dansant sur le ventre du PSG avec une facilité déconcertante. On a à la fois pas reconnu le PSG et trouvé ces nouveaux Stéphanois de leur nouvel entraîneur, Eirik Horneland, épatants, joueurs, culottés. Même en se doutant de l’issue de la rencontre, cette entame a montré que l’ASSE peut s’offrir un avenir en Ligue 1, surtout qu’il y a vraiment pire pour l’instant, avec Le Havre et bien sûr Montpellier. Le coup franc de Zuriko Davitashvili (2-1, 64e) place l’équipe du Forez du côté du talent et de l’orgueil, même s’il a très peu chatouillé le moral de Parisiens pas perturbés par cet incident de parcours."
Pétrot, péno
13/01 07:50
Bien parti pour égaler le record détenu par Sylvain Marchal (5), Léo Pétrot a concédé hier son 3e péno de la saison de L1 après ceux concédés à Rennes et contre Marseille. L'ASSE a ainsi consolidé son statut de leader au nombre de pénaltys concédés (9). Pour rappel Dennis Appiah avait été fautif contre Le Havre, Lamine Fomba et Pierre Cornud à Brest, Benjamin Bouchouari à Nice, Dylan Batubinsika à Angers et Mathieu Cafaro à Rennes.
Tannane buteur contre Al Rayyan
13/01 07:34
En ouverture de la 12e journée de L1 qatarie, Oussama Tannane, auteur de son 5e but de la saison, a donné l'avantage à Umm Salal contre Al Rayyan... qui s'est finalement imposé 6-2 !
🎥 WATCH | @ummsalalsc 2nd goal by Oussama Tannane#OoredooStarsLeaguepic.twitter.com/2mCzNd6UMZ
— Qatar Stars League (@QSL_EN) January 10, 2025
Vainqueur 4-1, Al Duhail, qui a remporté le 20 décembre la QSL Cup (équivalent de la Coupe de la Ligue), domine toujours le championnat pour le plus grand bonheur de Christophe Galtier, toujours assisté de Thierry Oleksiak et Fabrice Grange.
C'est positif pour la suite
13/01 07:19
Auteur de son 6e but de la saison de L1 hier soir au Parc sous les yeux de son sélectionneur Willy Sagnol, le numéro 22 des Verts a trompé Gianluigi Donnarumma sur un coup franc qu'il a lui même provoqué. "Zuriko Davitashvili, c’est un grand joueur, il a beaucoup de qualités, il a mis un grand but" a déclaré l'international italien à l'issue de cette derière rencontre de la phase aller du championnat. S'il a encore été défait pour son premier match sous les ordres d'Eirik Horneland, le meilleur buteur stéphanois positive dans Le Progrès du jour.
"On a bien joué, on a eu des occasions. Paris aussi. On savait comment ils jouaient, on avait un plan. Je pense qu’on a fait ce qu’on pouvait, ce n’était pas notre maximum, mais c’était un bon match. Je n’aime pas le résultat… Mais on a changé nos plans par exemple contre Marseille, on laissait trop le ballon. Là, on est allé plus haut. C’est positif pour la suite, ça va nous aider et nous apporter de la confiance. Mon coup-franc ? J’ai vu Donnaruma sur la droite qui ouvrait l’autre côté, je n’ai pas compris. J’ai choisi ce côté là, et j’ai marqué."
Il faut se battre pour chaque point
12/01 23:54
Déçu de ne pas avoir pris un point au Parc mais globalement satisfait du visage affiché par son équipe au Parc des Princes, Eirik Horneland a commenté sa première défaite d'entraîneur stéphanois.
"Aujourd’hui, on a bien débuté la première minute. On s’est crée beaucoup de choses. On aurait pu faire mieux en marquant. Ils ont trouvé des solutions en changeant le jeu de côté. On a beaucoup couru après eux. On a perdu la possession de balle. On a réussi à se reconnecter entre nous en seconde période. On a eu de très bons moments en étant plus directs dans notre jeu vers l’avant. C’était difficile de rentrer au vestiaire à 2-0 contre le PSG. Mais l’équipe est revenue avec de bonnes intentions et s’est battue. On a réussi à marquer et on y a cru jusqu’à la fin.
Davitashvili, c’est un joueur fantastique. Il s’est crée d’autres occasions. C’est bien de le revoir dans l’équipe. C’est un bon finisseur. On essaye de s’aider les uns et les autres, de créer une attitude positive entre nous, on essaye de combattre ensemble. Il nous reste 17 matchs. On va aller jusqu’au bout. On va se battre pour tout. Tous les matchs sont importants dans notre situation. Il faut se battre pour chaque point. On doit regarder notre performance et être meilleurs contre Nantes."
Luis Enrique a félicité Sainté
12/01 23:29
L'entraîneur du QSG Luis Enrique a glissé quelques mots de félicitations à l'ASSE au micro de DAZN après la courte victoire des leaders parisiens contre les antépénultièmes donc barragistes stéphanois en clôture de la phase aller du championnat de France de Ligue 1. "Je dois féliciter Saint-Etienne. Les Verts ont très bien joué, ils étaient offensifs, agressifs. J'aime la manière de jouer de Saint-Etienne. Félicitations à eux !"