
Beaucoup en parlent, Guingamp le fait ! (3)
11/08/2018

Comme il l'avait fait le 20 décembre 2016 dans Le Télégramme et le 3 février 2017 dans Le Parisien, le président guingampais Bertrand Desplat glisse un nouveau petit tacle à Nanard et Roro dans la dernière édition de Libération. Extraits.
"L'actionnariat populaire, d’autres clubs en ont beaucoup parlé… et on a été les seuls à le faire. Si vous voulez convaincre 144 actionnaires d’en accepter un 145e via une augmentation de capital et un achat de parts nouvelles, c’est facile. Si devez en convaincre deux ou trois, c’est plus sensible. Un actionnariat restreint, c’est inévitablement les luttes de pouvoir, deux contre un, quatre contre deux… Nous, nous ne sommes pas OPAbles ! Mon rôle, c’est de fédérer, et de porter un véritable projet d’entreprise pour l’EAG. Je n’en suis pas moins comptable de mon bilan envers les actionnaires – 145 votants qui nomment 18 administrateurs, lesquels élisent un président. Une sixième saison de suite en Ligue 1, des comptes dans le vert, plus de 20 millions d’investissements sur les cinq dernières années pour le développement de nos infrastructures : voilà ce que je peux présenter. L’En avant Guingamp n’est confisqué par personne, il appartient à tous. Une singularité au regard de l’environnement du foot : la norme en Ligue 1, c’est un actionnaire unique, de référence, puissant.
Avant de faire entrer les supporteurs dans le capital, nous avions pris le soin de construire un modèle de partage entre les forces vives de l’économie locale, qui s’apparente à une coopérative d’entrepreneurs régionaux. Avant les Kalon, il y avait déjà 144 actionnaires. Des artisans, des TPE, des PME, comme la caisse régionale du Crédit agricole, le groupe Le Graët, ou encore Servagroupe, un groupe costarmoricain de travail temporaire et sponsor maillot du club… Quand j’arrive en 2011, je vois un grand oublié : le supporteur. Or, le fait de ne pas être entrepreneur ne doit pas exclure. Quand je dis que le club n’est confisqué par personne, c’est concret : tous les entraînements sont ouverts et les sorties d’entraînements ou de matchs des joueurs pour rejoindre leur parking s’effectuent au milieu du public. Le phénomène des Kalon est la concrétisation dans le capital du club de cette politique. On a créé une association support et lancé un achat de parts nouvelles à 40 euros sur deux mois : 15 206 parts sont parties, pour 6 % du capital du club."

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